Papillon - 1973 - Franklin J. Schaffner
- John Mallory2
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Papillon - 1973 - Franklin J. Schaffner
Papillon de Frankin J. Schaffner (1973)
France, années 30. Condamné pour meurtre, Henri Charriere dit "Papillon" (Steve McQueen) est envoyé au bagne de Cayenne, en Guyane française. Bien décidé à s'en évader coûte que coûte, il se lie d'amitié avec le faussaire Louis Delga (Dustin Hoffman).
Après La grande évasion, Steve McQueen est à nouveau à l'affiche d'un tout grand film d'aventures dans un milieu carcéral. Mais si le film de John Sturges demeure un modèle du genre, son camp de prisonnier passerait tout de même presque pour une colonie de vacances à côté du tant redouté bagne de Cayenne. Adaptant l'histoire vraie écrite par Henri Charrière dans le livre du même nom, le film dépeint en effet un véritable enfer tropical perdu au fin fonds des colonies françaises d'Amérique du Sud et dont on ne revient pratiquement jamais.
Steve McQueen est tout simplement immense, interprétant avec brio un prisonnier désepéré qui cherche avant tout à survivre dans des conditions de vies à la limite du soutenable. Les scènes en cachots n'ont par exemple rien à voir avec celle de La grande évasion. Devant y séjourner durant deux années complètes, sans aucune sortie ni même aucune parole autorisée, McQueen va quasiment au bout de ses limites pour interpréter avec réalisme un personnage entêté mais totalement à bout de force, finissant par se nourrir des insectes qui lui tombent sous la main. Dustin Hoffman n'est également pas en reste dans le rôle du compagnon d'infortune de Papillon.
Tourné dans des décors de rêve, dans un cadre véritablement paradisiaque qui contraste avec la rudesse des conditions de vie des prisonniers, Papillon est vraiment un tout grand film d'aventures, avec un Steve McQueen au sommet de son art et de nombreuses séquences inoubliables de travaux forcés, d'évasions en mer ou de poursuites dans la jungle. Un must.
France, années 30. Condamné pour meurtre, Henri Charriere dit "Papillon" (Steve McQueen) est envoyé au bagne de Cayenne, en Guyane française. Bien décidé à s'en évader coûte que coûte, il se lie d'amitié avec le faussaire Louis Delga (Dustin Hoffman).
Après La grande évasion, Steve McQueen est à nouveau à l'affiche d'un tout grand film d'aventures dans un milieu carcéral. Mais si le film de John Sturges demeure un modèle du genre, son camp de prisonnier passerait tout de même presque pour une colonie de vacances à côté du tant redouté bagne de Cayenne. Adaptant l'histoire vraie écrite par Henri Charrière dans le livre du même nom, le film dépeint en effet un véritable enfer tropical perdu au fin fonds des colonies françaises d'Amérique du Sud et dont on ne revient pratiquement jamais.
Steve McQueen est tout simplement immense, interprétant avec brio un prisonnier désepéré qui cherche avant tout à survivre dans des conditions de vies à la limite du soutenable. Les scènes en cachots n'ont par exemple rien à voir avec celle de La grande évasion. Devant y séjourner durant deux années complètes, sans aucune sortie ni même aucune parole autorisée, McQueen va quasiment au bout de ses limites pour interpréter avec réalisme un personnage entêté mais totalement à bout de force, finissant par se nourrir des insectes qui lui tombent sous la main. Dustin Hoffman n'est également pas en reste dans le rôle du compagnon d'infortune de Papillon.
Tourné dans des décors de rêve, dans un cadre véritablement paradisiaque qui contraste avec la rudesse des conditions de vie des prisonniers, Papillon est vraiment un tout grand film d'aventures, avec un Steve McQueen au sommet de son art et de nombreuses séquences inoubliables de travaux forcés, d'évasions en mer ou de poursuites dans la jungle. Un must.
- cyberpunk2
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Re: Papillon - Franklin J. Schaffner - 1973
L'un des chefs d'oeuvre du cinéma, servi par une superbe histoire, et deux acteurs fantastiques.
Le film préféré de l'un de mes fils, et il a bien raison !
Le film préféré de l'un de mes fils, et il a bien raison !
Re: Papillon - Franklin J. Schaffner - 1973
Je suis sûr qu'il n'y a aucune, mais aucune influence du paternel sur son fiston à propos de ce film remarquable.