Diffusion le dimanche 31 décembre 2006 à 20h35 pour bien terminer l'année! 8)
[arte] Chantons sous la Pluie de Stanley Donen
http://www.arte.tv/fr/recherche/1423870.html
Dimanche, 31 décembre 2006 à 20:40
Chantons sous la pluie
("Singin' in the rain") Un film de Stanley Donen
Une jeune inconnue détrône une actrice vedette, sur scène et dans le coeur du beau Don (Gene Kelly). Un classique de la comédie musicale qui n'a rien perdu de son énergie euphorisante.
(Etats-Unis, 1952, 98mn, VF)
ARTE F
Réalisateur: Stanley Donen
Scénariste: Betty Comden, Adolph Green
Image: Harold Rosson
Musique: Nacio Herb Brown
Montage: Adrienne Fazan
Avec: Debbie Reynolds, Donald O'Connor, Gene Kelly, Jean Hagen, Millard Mitchell
1927, dans les studios de la Monumental Pictures à Hollywood. Don Lockwood et Lina Lamont forment le couple phare du cinéma muet. Adulés du public, perpétuellement amoureux à l'écran, ils ne peuvent en réalité pas se souffrir. L'arrivée du cinéma parlant provoque un drame. Car, malgré son port de reine, Lina a une voix de crécelle. Alors que la production donne son feu vert pour une comédie musicale, The dueling cavalier, Cosmo, inséparable compagnon de Don, propose que Kathy, jeune danseuse à la voix mélodieuse, soit la doublure de Lina...
Comédie claque
Plus d'un demi-siècle après sa sortie, Chantons sous la pluie, festival de couleurs, de talent et de bonne humeur, n'a rien perdu de son énergie survitaminée. Déclaration d'amour, délire collectif ou euphorie passagère : il se trouve toujours un bon prétexte pour glisser une séquence de danse ou un numéro de claquettes dans le fil du récit. Le trio formé par Gene Kelly en séducteur romantique, Donald O'Connor en clown acrobate et Debbie Reynolds en starlette talentueuse fonctionne à merveille. Cyd Charisse, toute de vert vêtue, fait une apparition en femme fatale de rêve. Comédie musicale virevoltante, Chantons sous la pluie est aussi un témoignage sur le passage du muet au parlant. Voix d'acteurs insupportables, problèmes d'accommodation au micro : les anecdotes sont d'époque. L'interprétation de Jean Hagen en star zozotante, horripilante et hilarante lui valut d'être nominée pour l'Oscar du meilleur second rôle féminin.
Dimanche, 31 décembre 2006 à 20:40
Chantons sous la pluie
("Singin' in the rain") Un film de Stanley Donen
Une jeune inconnue détrône une actrice vedette, sur scène et dans le coeur du beau Don (Gene Kelly). Un classique de la comédie musicale qui n'a rien perdu de son énergie euphorisante.
(Etats-Unis, 1952, 98mn, VF)
ARTE F
Réalisateur: Stanley Donen
Scénariste: Betty Comden, Adolph Green
Image: Harold Rosson
Musique: Nacio Herb Brown
Montage: Adrienne Fazan
Avec: Debbie Reynolds, Donald O'Connor, Gene Kelly, Jean Hagen, Millard Mitchell
1927, dans les studios de la Monumental Pictures à Hollywood. Don Lockwood et Lina Lamont forment le couple phare du cinéma muet. Adulés du public, perpétuellement amoureux à l'écran, ils ne peuvent en réalité pas se souffrir. L'arrivée du cinéma parlant provoque un drame. Car, malgré son port de reine, Lina a une voix de crécelle. Alors que la production donne son feu vert pour une comédie musicale, The dueling cavalier, Cosmo, inséparable compagnon de Don, propose que Kathy, jeune danseuse à la voix mélodieuse, soit la doublure de Lina...
Comédie claque
Plus d'un demi-siècle après sa sortie, Chantons sous la pluie, festival de couleurs, de talent et de bonne humeur, n'a rien perdu de son énergie survitaminée. Déclaration d'amour, délire collectif ou euphorie passagère : il se trouve toujours un bon prétexte pour glisser une séquence de danse ou un numéro de claquettes dans le fil du récit. Le trio formé par Gene Kelly en séducteur romantique, Donald O'Connor en clown acrobate et Debbie Reynolds en starlette talentueuse fonctionne à merveille. Cyd Charisse, toute de vert vêtue, fait une apparition en femme fatale de rêve. Comédie musicale virevoltante, Chantons sous la pluie est aussi un témoignage sur le passage du muet au parlant. Voix d'acteurs insupportables, problèmes d'accommodation au micro : les anecdotes sont d'époque. L'interprétation de Jean Hagen en star zozotante, horripilante et hilarante lui valut d'être nominée pour l'Oscar du meilleur second rôle féminin.
http://www.arte.tv/fr/Le-meilleur-de-la ... 23860.html
Thema 31 décembre 2006 - 22.15 Documentaire
L’art de Fred Astaire
Documentaire de Catherine Dupuis
Fred Astaire a fait du music-hall hollywoodien un lieu de magie et de grâce. À travers images et témoignages, quelques pistes pour comprendre cet art qui n’appartient qu’à lui.
(France, 2004, 1h13mn)
Coproduction : ARTE France
On Line Productions
La figure de Fred Astaire domine toute l’histoire de la comédie musicale classique, depuis l’âge d’or des années 30 jusqu’aux années 50, avant que le genre n’abandonne les numéros de claquettes. Non que Fred Astaire ait été un simple danseur de music-hall. S’il n’a pas suivi de formation classique, il a su élever les claquettes au niveau d’un art. Moins athlétique que Gene Kelly, le seul qui puisse lui être comparé, il compensait ce manque par une maîtrise parfaite du rythme et par une élégance légendaire.
Artiste complet, il participait à la conception de ses numéros, jouait et chantait juste. En 1974, de manière tout à fait exceptionnelle, la réalisatrice Catherine Dupuis a rencontré Fred Astaire chez lui, à Hollywood. Il évoque ses souvenirs de tournage et la manière dont il travaillait. Ce film se concentre essentiellement sur la “grande” période du danseur, celle des musicals de la RKO, dans les années 30. Le couple qu’il formait alors avec Ginger Rogers est devenu mythique. Dans une interview réalisée après la mort de Fred Astaire, celle-ci évoque leur complicité professionnelle et leur amitié.
D’autres témoignages éclairent une carrière sans fautes et une personnalité sans ombres : ceux de chorégraphes et compositeurs de l’époque, celui de Leslie Caron, qui évoque des souvenirs intimes inattendus. Ils dessinent le portrait d’un homme simple, perfectionniste, qui faisait preuve de la même élégance dans la vie qu’au cinéma.
Thema 31 décembre 2006 - 22.15 Documentaire
L’art de Fred Astaire
Documentaire de Catherine Dupuis
Fred Astaire a fait du music-hall hollywoodien un lieu de magie et de grâce. À travers images et témoignages, quelques pistes pour comprendre cet art qui n’appartient qu’à lui.
(France, 2004, 1h13mn)
Coproduction : ARTE France
On Line Productions
La figure de Fred Astaire domine toute l’histoire de la comédie musicale classique, depuis l’âge d’or des années 30 jusqu’aux années 50, avant que le genre n’abandonne les numéros de claquettes. Non que Fred Astaire ait été un simple danseur de music-hall. S’il n’a pas suivi de formation classique, il a su élever les claquettes au niveau d’un art. Moins athlétique que Gene Kelly, le seul qui puisse lui être comparé, il compensait ce manque par une maîtrise parfaite du rythme et par une élégance légendaire.
Artiste complet, il participait à la conception de ses numéros, jouait et chantait juste. En 1974, de manière tout à fait exceptionnelle, la réalisatrice Catherine Dupuis a rencontré Fred Astaire chez lui, à Hollywood. Il évoque ses souvenirs de tournage et la manière dont il travaillait. Ce film se concentre essentiellement sur la “grande” période du danseur, celle des musicals de la RKO, dans les années 30. Le couple qu’il formait alors avec Ginger Rogers est devenu mythique. Dans une interview réalisée après la mort de Fred Astaire, celle-ci évoque leur complicité professionnelle et leur amitié.
D’autres témoignages éclairent une carrière sans fautes et une personnalité sans ombres : ceux de chorégraphes et compositeurs de l’époque, celui de Leslie Caron, qui évoque des souvenirs intimes inattendus. Ils dessinent le portrait d’un homme simple, perfectionniste, qui faisait preuve de la même élégance dans la vie qu’au cinéma.