Un mystérieux terroriste se faisant appeler Simon (Jeremy Irons) sème la terreur à New-York en semant des bombes. Ses revendications : jouer à "Jacques a dit" avec l'inspecteur John McLane (Bruce Willis).
Après avoir réglé leur comte à de méchants terroristes dans un building de Los Angeles et l'aéroport de Washington, John McLane est de retour pour un troisième Die Hard, qui voit son terrain de jeu encore s'élargir. Cette fois, c'est dans la ville de New-York que va se dérouler l'action, sur fond de vengeance, en référence à Piège de cristal. En bonne franchise à gros budget qui se respecte, ce troisième film ne déroge donc pas à la règle de la surrenchère par rapport à l'épisode précédent. Explosions à gogo, poursuites en bagnoles à Manathan (avec un petit raccourci par Central Park.
), fusillade dans un ascenseur, bombes à désamorcer ou combat féroce à main nue, Bruce Willis ne se ménage pas et enchaîne les morceaux de bravoures à un rythme haletant. Et comme d'hab, il n'hésite pas à mouiller la chemise... de son propre sang. 
N'ayant plus besoin de présenter le héros, le film peut directement entrer dans le vif du sujet, pour ensuite aller toujours droit à l'essentiel sans aucune baisse de régime. Grande nouveauté pour la saga, ce Die Hard 3 prend la forme d'un buddy movie avec l'arrivée d'un compère pour épauler McLane dans sa folle aventure. Dans le rôle du co-équipier black, c'est Samuel L. Jackson qui s'y colle, apportant une bonne touche d'humour supplémentaire.
Faisant honneur à sa franchise, Une journée en enfer parvient à l'innover et à maintenir la route tout le long.
