Synopsis : Jack Walsh, flic integre, a quitte la police parce qu'il refusait de se laisser acheter par un caid de la drogue. Il est maintenant chasseur de primes pour le compte d'Eddie Moscone a Los Angeles et doit retrouver le comptable qui a reussi a escroquer le fameux caid.
Avis : Une excellente comédie avec beaucoup d'actions. De Niro est impeccable en chasseur de primes hargneux et Charles Grodin que je connais uniquement grâce à ce film (pas vu ailleurs ) se débrouille bien en comptable agaçant. Et en plus de ça Joe Pantoliano nous gratifie d'une très bonne prestation en recouvreur de caution. (sais pas si c'est le terme exact ) et aussi Dennis Farina en mafieux violent au réplique qui tue comme par exemple : "Si vous me les retrouver pas je vous extirpe les boyaux avec une pince à épiler". Et également Yaphet Kotto en agent du FBI.(acteur très connus des fans de la Blaxploitation où il jouais souvent les méchants)
Bref c'est un film toujours très agréable à visionner et on s'ennuie pas une seule seconde.
Chaudement recommandé.
Midnight Run - Martin Brest - 1988
Re: Midnight Run - Martin Brest - 1988
Bien d'accord avec toi.
Une comédie rythmée, sans temps morts, une vraie détente.
Martin Brest a peu réalisé, mais c'est plutôt pas mal quand il fait tourner la manivelle.
Une comédie rythmée, sans temps morts, une vraie détente.
Martin Brest a peu réalisé, mais c'est plutôt pas mal quand il fait tourner la manivelle.
Re: Midnight Run - Martin Brest - 1988
Elephant Films avait sorti le film en combo Blu-ray / DVD le 17 octobre 2018. Comme à son habitude, l'éditeur propose quelques mois plus tard la version Blu-ray seule. Dans les bacs le 8 mars. VF et VOst.
Les bonus restent les mêmes :
- Un documentaire sur le film de Julien Comelli et Erwan Le Gac nommé "Midnight Run : La Grande vadrouille",
- Un making of promotionnel d’époque,
- La bande-annonce,
- Une galerie photos.
L'occasion de (re)voir cette sympathique comédie d'action de l'auteur du non moins sympathique Le Flic de Beverly Hills. Mal aimé par la critique, on se demande pourquoi, même si ce n'est pas la comédie du siècle. La bonne humeur est de mise, De Niro et Grodin cabotinent, certes, mais raisonnablement, l'histoire le voulant, et il y a de bonnes trognes de seconds rôles (Yaphet Kotto, John Ashton, Dennis Farina, Joe Pantoliano... ).
Tournant peu (deux films dans les années 1990), cinéaste de stars confirmées (Robert De Niro, Al Pacino) ou en pleine ascension (Eddie Murphy, Brad Pitt), Martin Brest va disparaitre du monde cinématographique après son septième et dernier film, le raté Amours troubles (Gigli) sorti en 2003, sensé être le véhicule parfait pour le couple d'alors Ben Affleck / Jennifer Lopez, et qui se ramassa au box-office tout en essuyant une volée de bois vert de la part de la critique, le film étant même nommé 9 fois aux Razzie Awards 2004, "remportant" 6 trophées, et gagna même le Razzie Award de la pire comédie des 25 dernières années lors des Razzie Awards de l'année suivante. Et comme ça ne suffisait pas, aux Razzie Awards 2010, le film fit sa réapparition pour 3 nominations (pire film, pire acteur et pire actrice de la décennie 1990) !
Un tel fiasco semble avoir dégoûté Martin Brest de la réalisation (il n'est même pas passé par la case télévision, habituel refuge des réalisateurs aux casseroles trop nombreuses), car on est sans nouvelles de lui depuis...
Les bonus restent les mêmes :
- Un documentaire sur le film de Julien Comelli et Erwan Le Gac nommé "Midnight Run : La Grande vadrouille",
- Un making of promotionnel d’époque,
- La bande-annonce,
- Une galerie photos.
L'occasion de (re)voir cette sympathique comédie d'action de l'auteur du non moins sympathique Le Flic de Beverly Hills. Mal aimé par la critique, on se demande pourquoi, même si ce n'est pas la comédie du siècle. La bonne humeur est de mise, De Niro et Grodin cabotinent, certes, mais raisonnablement, l'histoire le voulant, et il y a de bonnes trognes de seconds rôles (Yaphet Kotto, John Ashton, Dennis Farina, Joe Pantoliano... ).
Tournant peu (deux films dans les années 1990), cinéaste de stars confirmées (Robert De Niro, Al Pacino) ou en pleine ascension (Eddie Murphy, Brad Pitt), Martin Brest va disparaitre du monde cinématographique après son septième et dernier film, le raté Amours troubles (Gigli) sorti en 2003, sensé être le véhicule parfait pour le couple d'alors Ben Affleck / Jennifer Lopez, et qui se ramassa au box-office tout en essuyant une volée de bois vert de la part de la critique, le film étant même nommé 9 fois aux Razzie Awards 2004, "remportant" 6 trophées, et gagna même le Razzie Award de la pire comédie des 25 dernières années lors des Razzie Awards de l'année suivante. Et comme ça ne suffisait pas, aux Razzie Awards 2010, le film fit sa réapparition pour 3 nominations (pire film, pire acteur et pire actrice de la décennie 1990) !
Un tel fiasco semble avoir dégoûté Martin Brest de la réalisation (il n'est même pas passé par la case télévision, habituel refuge des réalisateurs aux casseroles trop nombreuses), car on est sans nouvelles de lui depuis...
Dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant c'est avant...
Michel Audiard
Michel Audiard