Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

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Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par lasbugas » 12 avr. 2015, 16:02

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Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par lasbugas » 12 avr. 2015, 16:01

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Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par lasbugas » 24 oct. 2010, 08:36

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Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par Sergent Ryker » 06 août 2010, 01:14







Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par Ronald » 26 mai 2010, 11:11

J'ai toujours eu beaucoup de mal avec ce film,trop patriotique à mon gout...
Pas de grandes différences avec un western,on a juste remplacé les tuniques bleues par les soldats US et les indiens par les Viets-congs! :lol:

Re: Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par Personne » 20 févr. 2010, 10:53

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John Wayne ... Colonel Mike Kirby
David Janssen ... George Beckworth
Jim Hutton ... Sergeant Petersen
Aldo Ray ... Master Sergeant Muldoon
Raymond St. Jacques ... Sergeant Doc McGee
Bruce Cabot ... Colonel Morgan
Jack Soo ... Colonel Cai
George Takei ... Captain Nim
Patrick Wayne ... Lieutenant Jamison
Luke Askew ... Sergeant Provo
Irene Tsu ... Lin
Edward Faulkner ... Captain MacDaniel
Jason Evers ... Captain Coleman
Mike Henry ... Sergeant Kowalski

Revu grâce au très beau Blu-ray offert par warner. Acheté en angleterre et qui sera le même que celui qui va sortir en France. Présence d'un petit reportage de tournage avec des sous-titres Français et d'une bande-annonce.

Le film offre effectivement une vision américaine du conflit, cherchant le larmoyant avec de très grosses ficelles. Mais il se suit sans ennui, car la machine hollywoodienne est bien huilée.

3 phases dans ce film. Tout d'abord on nous présente les protagonistes. Les militaires et là on est servi avec Aldo Ray qu'on ne présente plus, c'est un spécialiste du film de guerre avec un physique de baroudeur/bourlingueur par exemple ou Luke Askew que je venais de vraiment découvrir dans Un Tueur Nommé Luke de Guilio Petroni, très bon lui aussi. Un Jim Hutton malicieux, c'est le pourvoyeur de stocks en tout genre, tiens le fils wayne en homme du génie, un Raymond St-Jacques en sergent médecin au coeur sur la main et enfin un journaliste, l'homme du doute sur la mission des forces US, en la personne du fugitif David Janssen. Bien sûr au fur et à mesure que le métrage avancera, il prendra partie pour l'intervention, même si il se doit de rédiger un papier qui n'ira pas dans ce sens à son retour... Pression populaire et ligne éditoriale de son journal sans doute.
Tout ce petit monde va se retrouver dans un camp perdu en plein Vietnam et on arrive à la 2ème partie du métrage avec cette attaque de camp qui n'a rien à envier au Alamo de Wayne toujours. Bon, branlée reçu par les américains, mais ils reprennent le camp après la défaite grâce aux mitrailleuses venus du ciel!!
3 ème phase, une opération aéroporté avec parachutage de la troupe pour aller kidnapper un chef vietcong...

Les extérieurs sont tournées en Georgie, Fort Benning, sensé représenter le Vietnam... Hum!! Et les intérieurs en studio...

Un film vieille école, mais qui présente seulement une partie de l'enjeu, celui des US.

Les Bérets Verts - The Green Berets - 1968 - John Wayne & Ray Kellogg

par Jake Holman » 03 août 2009, 08:40

The Green Berets de John Wayne & Ray Kellog (1968)



Le comédien pour sa seconde réalisation s'attaqua à un sujet à controverse la guerre du Vietnam.
Intimement convaincu que les petits gars qui se battaient là-bas servaient une juste cause, John Wayne réalisa un film à forte connotation patriotique, mettant en avant le courage des soldats américains luttant contre le communisme rouge.

A ce titre ce film paraît aujourd'hui bien désuet dans sa propagande de pire espèce... des cinéastes comme Cimino ou Coppola se montrèrent plus réalistes sur ce dit conflit qui embourba l'armée américaine, et, se soldant par une cuisante défaite.

Reste que certaines séquences rappellent que John Wayne avait l'étoffe d'un grand réalisateur, Alamo en est la preuve.

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