Ce film en belles couleurs de Technicolor de E.G. Ulmer, natif Autrichien, se présente comme une piece de theatre, avec peu, mais d'excellents acteurs, à savoir Arthur Kennedy, Betta St. John et Eugene Iglesias. Nous sommes indroduits par une scene de braquage de train ou le compagnon du bandit, Vicente est blessé et meurt lors de la fuite. Santiago, le bandit, le console, lui donne absolution et le convainct que St. Pierre va lui dire qu'il va enfin obtenir ses terres. Santiago rencontre un couple pauvre travaillant un lopin de terre, le mari traitant sa jolie femme en esclave. Il invite le mari (Sanchez) à l'accompagner pour récupérer sa récompense chez le receleur. Il donne une partie de l'argent à Sanchez et commence à dilapier beaucoup d'argent dans un bar. Sanchez sentant l'argent devient cupide et songe même à tuer Santiago. Santiago le traite toujours bien et lui sauve la vie. Maria l'épouse voit en Santiago son sauveur et lui demande de l'emmener, finissant son supplice. Il refuse. Mais comme Sanchez menace Santiago, il accepte que Maria le suit........
Le bandit est chaleureux, respecte les autres, mais vit de jour en jour, perd son argent. Sanchez un travailleur est tourmenté par la manne subite, traite mal son épouse, mais à la fin réalise qu'il doit changer et respecter sa femme, grâce aux lecons affligés par le bandit. Les caractères sont bien travaillés et la musique Mexicaine, guitarre et violons enchainent l'action.
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