Directeur de la photographie : Ted Pahle, Jacques Mercanton
Composition musicale : Jacques Dallin
Montage : Jacques Desagneaux Studio : Les Films Albatros
Genre complémentaire : Cape et d'épée, Aventure Historique Résumé : Le prince Philippe de Gonzague décide de se débarasser de son cousin, Philippe de Nevers, dont il convoite la femme et la fortune. Nevers est, secrètement l'époux d'Isabelle de Caylus qui lui a donné une fille, Aurore, un an auparavant. Gonzague charge Peyrolles, son âme damnée, d'agir. Mais, à deux reprises, un gentilhomme chevaleresque, Henri de Lagardère, vient prêter main-forte au prince, il ne peut cependant empêcher le lâche assassinat de Nevers par Gonzague en personne, masqué. Lagardère fait serment au mourant de le venger et de prendre soin de l'enfant qu'il emporte en Espagne avec son fidèle Passepoil. Les années passent, Gonzague, qui est parvenu à épouser Isabelle, obtient du Régent que se tienne un conseil de famille devant statuer sur la succession de Nevers. Lagardère rentre alors en France pour faire triompher les droits d'Aurore, qui l'aime, et chatier l'assassin de son père. Il endosse la silhouette d'un bossu afin d'approcher, sans être reconnu, Peyrolles et Gonzague.
Informations complémentaires : Sortie France : 28/12/1934
D'après le roman éponyme de Paul Feval sorti en 1857
Dialoguiste : Georges Berr
Directeur de production : Vladimir Zederbaum
Ingénieur du son : Marcel Royné
Décors : Engène Lourié
Le Bossu / Le Bossu Ou Le Petit Parisien / Le Chevalier de Lagardère, , 1934, Robert Vidalin, Josseline Gaël, Samson Fainsilber, Raymond Galle, Jim Gérard, Henri Marchand, Jean Clarens, Jacques Varennes, Paul Clerget, Allain Dhurtal, Lucette Desmoulins, Germaine Laugier, Madeleine Samary, René Sti, cinéma, cinefaniac, action, aventures, comédie, guerre, noir, comédie musicale, western, critique, base de données, DVD, Le Bossu / Le Bossu Ou Le Petit Parisien / Le Chevalier de Lagardère DVD, DVD, critique, Le Bossu / Le Bossu Ou Le Petit Parisien / Le Chevalier de Lagardère critique, René Sti critique