Résumé : Directeur d'une prospère société immobilière de Toulouse, Pélépan est dans l'impasse. Il a très imprudemment spéculé sur une somme folle, dix millions de centimes. Or, ce montant représente le salaire de l'ensemble de ses employés. C'est un véritable casse-tête pour ce manager aux placements aventureux. Il réalise cependant qu'il lui reste peut-être une chance de tout sauver. La somme étant en fait restée bloquée à Paris, Pélépan tente le tout pour le tout. Il obtient de madame Bertin, PDG de l'entreprise, un chèque de quinze millions. Le caissier et le chef-comptable sont dépêchés à la banque afin de toucher la somme. Commence alors une folle course-poursuite...
Test du Blu-Ray
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ESC Editions Blu-Ray disponible depuis le mercredi 19 janvier 2022.
1.66 16/9 MPEG-4 AVC Video 1080p 24 images/seconde
ESC éditions continue à explorer la filmographie de Jean-Pierre Mocky avec La Bourse et la vie dont les droits sont détenus par la Columbia. Le film restait inédit en DVD et Blu-Ray.
La copie est excellente et probablement tirée d'un scan en 2K voire 4K du film. La pellicule argentique est reproduite à merveille avec un grain fin et abondant. La définition est bonne que ce soit dans les gros plans ou dans les plans larges. La palette de couleurs est particulièrement bien reproduite. Quelques rares scories apparaissent rarement mais la copie est globalement très propre.
1) Français DTS-HD Master Audio 2.0 48 kHz 24-bit
La piste audio est très correcte. Les dialogues sur la VF sont clairs bien qu'un peu limités.
On regrette l'absence de sous-titres pour sourds et malentendants.
Sous-titres : Aucun
Fernandel par Fernandel (VF - 24'39 - 1080i - 2022)
Cette interview du petit-fils de l'acteur, Vincent Fernandel, revient sur les débuts de Fernandel, l'influence de Marcel Pagnol, les années 1950 et le passage aux années 1960, les films avec Henri Verneuil. Sur La Bourse et la vie, il souligne l'apport de Mocky et qualifie le film d'un "Mocky" plutôt que d'un "Fernandel". Il explique les relations entre Mocky et Fernandel et conclut par une belle appréciation sur le film Le voyage du père.
Un supplément enthousiaste et touchant dans lequel Vincent Fernandel est franc et n'hésite pas à critiquer certains films de son grand-père.
