Test du Blu-Ray
édité par
Gaumont Blu-Ray disponible depuis le mercredi 03 juin 2020.
2.35 16/9 MPEG-4 AVC 1080p 24 images par seconde Noir et blanc
En 2013, Mélodie en sous-sol sortait en Blu-Ray chez Pathé films. C'était avant la reprise du catalogue Roissy films (dont fait partie le film) par Gaumont.
Cette nouvelle édition s'appuie sur le même master avec une copie très convenable bien que datée (et ne rivalisant pas avec Le Président qui sort à la même date chez Gaumont). Un nouveau scan aurait permis une légère amélioration mais le résultat actuel est largement acceptable.
La définition est très convenable mais manque de finesse. L'image contient un léger grain. Les noirs pourraient être plus appuyés surtout sur la séquence nocturne finale du film (voir dernière capture ci-après). On note une légère amélioration par rapport au Blu-Ray Pathé. A l'instar du disque Le président, Gaumont a réduit la luminosité.
Le résultat est général est assez homogène et propre malgré quelques instabilités du cadre.
Comparaison Blu-Ray Gaumont (2020) / Blu-Ray Pathé (2013)
(Partie gauche : Blu-Ray Gaumont (2020) - Partie droite : Blu-Ray Pathé (2013))
Faire défiler la barre centrale pour comparer.
Comparaison Blu-Ray Gaumont (2020) / Blu-Ray Pathé (2013)
(Partie gauche : Blu-Ray Gaumont (2020) - Partie droite : Blu-Ray Pathé (2013))
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1) Français DTS-HD Master Audio 2.0 48 kHz 24-bit
La piste audio manque un peu de précision et comporte un léger souffle. Certains passages peuvent légèrement saturer.
La partition de Michel Magne est correcte.
A noter que la piste d'audio description du Blu-Ray Pathé n'est pas de la partie.
Sous-titres : Français pour malentendants, Anglais
Le making of du Blu-Ray Pathé signé Jérôme Wybon (et riche en interview d'archives) est remplacé par un nouveau document.
Le geste parfait - Autour du film (VF - 44'54 - HD - 2020)
Dans cette présentation complète, Rafik Djoumi et Patrick Glâtre reviennent sur Henri Verneuil et sa volonté de rivaliser avec les films de casse américains.
Patrick Glâtre met en évidence le musée Jean Gabin dans l'Oise. Ils abordent également l'arrivée sur le projet d'Alain Delon et la réduction de son cachet ainsi que le début du film à Sarcelles.
Le tout est complété avec quelques extraits d'une interview d'archive de Verneuil datant de 2001.