Genre complémentaire : Comédie romantique Résumé : Miles Harding vient d'emménager. Il est architecte et travaille à la création d'un nouveau type de briques résistantes aux tremblements de terre. Pour faciliter son travail, il décide d'acquérir un ordinateur dernière génération. Il l'équipe par la suite de quelques périphériques et le programme pour le laisser travailler seul en son absence. Lorsque Miles vient à renverser accidentellement du champagne sur son ordinateur, celui-ci se retrouve doué de la pensée et autonome. Dans le même temps, Miles fait connaissance avec sa nouvelle voisine, Madeline, joueuse de violoncelle, que ne le laissa pas insensible. Mais l'ordinateur se met lui aussi à développer des sentiments pour Madeline... Lieu de tournage : Ile d'Alcatraz, San Francisco Bay, San Francisco, Californie, Twickenham Film Studios, Angleterre
Informations complémentaires : Sortie États-Unis : 20/07/1984 - Sortie Grande-Bretagne : 31/07/1987 - Sortie France : 14/04/1985.
Tournage : octobre 1983.
- BAFTA 1985 : nomination pour le prix de la meilleure chanson originale (pour "Together in Electric Dreams".
- Festival international du film fantastique d'Avoriaz 1985 : prix Antenne d'or, prix du public. Nomination pour le Grand Prix.
À noter que le titre en français La belle et l'ordinateur ne correspond pas à un titre d'exploitation, le film ayant été exploité en salles et en vidéo en France sous son titre original.
Electric dreams, Electric dreams / La Belle et l'ordinateur, 1984, Lenny von Dohlen, Virginia Madsen, Maxwell Caulfield, Bud Cort, Don Fellows, Alan Polonsky, Wendy Miller, Harry Rabinowitz, Miriam Margolyes, Holly De Jong, Stella Maris, Mac McDonald, Regina Waldon, Howland Chamberlain, Patsy Smart, Madeleine Christie, Preston Lockwood, Frazer Smith, Steve Barron, cinéma, cinefaniac, action, aventures, comédie, guerre, noir, comédie musicale, western, critique, base de données, Electric dreams / La Belle et l'ordinateur DVD, Electric dreams DVD, DVD, Electric dreams / La Belle et l'ordinateur critique, Electric dreams critique, Steve Barron critique